Ils reviennent d’une visite institutionnelle qui aura permis de toucher du doigt certaines réalités, en même d’impacter le quotidien des citoyens. C’est ce qui ressort de la communication faite mercredi dernier par le directoire du parti à Yaoundé.

La Présidente nationale de l’UDC était face à la Presse le mercredi, 05 octobre 2022. Il était question pour elle, de présenter le compte rendu de la visite institutionnelle effectuée en Italie, du 07 au 17 septembre 2022 par les élus de son parti. Notamment, les maires appartenant au syndicat des Communes du Noun, les députés à l’Assemblée nationale, les conseillers régionaux etc. Pendant dix jours, plusieurs villes Italiennes ont été visitées. Le Vatican y compris. C’était à l’invitation de l’Association Cassino Cittá Per la Place Onlus, avec la participation du Minddevel, du conseil régional de l’Ouest, du Feicom et des Cvuc. De cette rencontre de Presse tenue au siège du parti, sis à l’immeuble de la Fondation Njoya Arouna, montée Anne Rouge à Yaoundé, il ressort que cette visite a permis à la délégation camerounaise de nouer un certain nombre de contacts avec les partenaires au développement, pour l’épanouissement de la population.

CE QUI VA CHANGER

Loin d’une conférence de presse ordinaire, la rencontre de la capitale s’est voulue un cadre idéal d’échanges et de partages. Il s’est agit pour la Présidente nationale de l’Union Démocratique du Cameroun, par ailleurs présidente du syndicat des Communes du Noun et ses élus, de présenter de manière exhaustive les actions posées à l’extérieur et les retombées à venir. Les hommes de médias présents à ce rendez-vous n’ont pas fait fines bouches quant à l’impact direct sur les populations. Mais ce que l’on retient, c’est qu’il s’agissait là d’une recherche des partenaires au développement. Lesquels partenaires, à travers les échanges B to B, pourraient dans les jours à venir, impulser une nouvelle dynamique dans le développement local. Pour l’instant, l’on note comme Impact au détour de ce périple, le sens de l’organisation et de la planification, la conservation du patrimoine matériel et immatériel. La présence des cafetières de 1900 qui sont restées conservées, des ustensiles, même du pain de 1800 sont les quelques exemples évoqués pour étayer cette réalité tout à fait contraire aux coutumes de chez nous. “On ne va pas chercher de l’argent pour venir distribuer aux citoyens. On va à la recherche des partenaires, qui vont concourir au bien être des citoyens”, relève le Maire de la Commune de Koutaba, Ibrahim Koutaptou, qui lève définitivement l’équivoque sur cette question.

Sébastien ESSOMBA