Coup de tonnerre : Feuilleton réseaux sociaux-dénigrement de Dr Me Fotso fostine, la vérité a fini par triompher
Dame Gemdjo Rose Sabine, épouse Mzuafo, tête de file de casseurs des aménagements du local de « Flamme d’amour de justice et de paix », association d’assistance aux personnes vulnérables dirigée par Hon. Dr Me Fostine Fotso a été écrouée à la prison centrale de Bafoussam.
Les réseaux sociaux sont véritablement un phénomène, où des ignares étalent en plein jour leur cécité, encouragés en cela par des borgnes qui se prennent pour des rois. On y retrouve du tout, de la délation au dénigrement, en passant par le chantage.
Certains n’hésitent pas à en faire une audience foraine, dont les magistrats seraient les adeptes de Facebook qui ignorent tout du droit. Dans ces conditions, c’est la justice qui est bafouée et foulée du pied.
C’est ainsi que Honorable Docteur Maître FOTSO FOSTINE a été récemment traitée injustement de tous les noms d’oiseaux sur la fameuse toile. Il y a d’ailleurs lieu de se demander si sa dernière sortie pour défendre son Excellence Monsieur l’ambassadeur de France et fustiger l’attitude du Professeur Kamto pour sa légèreté à l’égard du diplomate n’y est pas pour quelque chose, vu la rapidité dans la chronologie des attaques sur la toile et sur ses biens. Ne pouvant lui répondre de front, des âmes chagrins et aigries n’ont pas trouvé mieux que de se servir d’une veuve naïve pour régler ses comptes.
Pour réussir le buzz, ces ennemis de la paix ont recruté sieur David Eboutou, un genre d’individu sous la dénomination de « lanceurs d’alerte », qui sont des mercenaires de la plume et opèrent pour beaucoup d’entre eux dans les réseaux sociaux en faisant des dénonciations fallacieuses et relayant des informations non vérifiées par voie du net.
S’il y a des choses qui sont irréparables dans la vie, ce sont les atteintes à la réputation d’une personne.
Les faits
Courant 2016, Honorable Me Fotso a conclu un contrat de bail en bonne et due forme avec le mari de Dame Djigo Monique, mère de Dame Gemdjo (incarcérée en ce moment), dans l’optique d’en faire le siège de “Flamme d’amour” son association non lucrative qu’elle avait créée pour venir en aide aux personnes vulnérables de son département. L’objet du contrat était une modeste maison en terre battue, qui ne payait pas de mine. C’est par pitié pour aider le 3ième âge qui lui proposait cette affaire peu intéressante que l’avocate au Barreau du Cameroun a marqué son accord via son collaborateur à Baham.
Le contrat stipulait qu’elle avait le droit d’effectuer des gros travaux à sa guise pour adapter les lieux aux besoins de son association. Elle versa 6 ans de loyer et à en croire des scènes de vidéo qu’elle avait eu l’heur et l’intuition de filmer, la joie du bailleur âgé était à son comble, puisque la coquette somme de fcfa 1 460 000 (Un million quatre cent soixante mille) versée lui avait permis d’améliorer ses dernières années de vie. Il convient de noter que les dépenses pour les gros travaux entrepris par la marraine de l’association n’étaient pas prélevées sur les loyers versés de 6 ans.
D’où vient-il alors que son nom se retrouve sur la toile pour intention malveillante ? Comme si elle nourrissait l’idée de s’approprier l’objet du contrat, autrement dit la maison en question ? En tant qu’avocate professionnelle, elle ne saurait confondre location et vente d’immeuble, quand même ! Tout se passe comme si des personnes mal intentionnées auraient suggéré à Dame DJIGO et certains de ses enfants de descendre l’honorable Docteur Fotso. Sinon comment expliquer ce comportement si véhément et la précipitation sur les réseaux sociaux ? Si elle s’estimait lésée, pour ne pas dire flouée, pourquoi ne pas en référer à la justice de son pays. L’arrogance de la dame n’avait d’égal que son assurance du conseil et de l’appui de certains réseaux obscurs.
Après avoir successivement séquestré les employés commis par Honorable Fotso pour ses travaux et dans son local loué, cassé les portes en bois et métallique, détruit les murs en construction et émietté plusieurs centaines de parpaings et lames nacos, à quoi devrait elle s’attendre ? Notez-vous mêmes les voies de faits, l’injure publique, la violence, la violation de domicile, la séquestration, la destruction des biens avec effraction, j’en passe. Rien ne peut justifier de telles entorses de la part d’une veuve et ses enfants qui se disent tyrannisés, encouragés en cela par des personnalités tapis dans l’ombre, qui ont pour la plupart relayé les vidéos dilatoires à l’égard de la courageuse Avocate. Comment ne pas penser à de la manipulation ?
Pourtant, les autorités de Baham avaient attiré leur attention avant les casses sur le caractère non fondé de leur opposition aux travaux d’aménagements qui étaient pourtant conformes au contrat. Une conciliation timorée et inutile à la fois, vu la suite des évènements. Peut être aurait-il fallu déjà à ce moment sévir pour violation de domicile et séquestration, puisqu’une plainte avait déjà été déposée à la brigade de Baham dès le début de la violation de la loi. Cette démarche aurait évité les casses spectaculaires. C’est à la suite de celles-ci que chacun a pris la mesure de l’ampleur de la rage de Dame Gemdjo, Djigo et de ses acolytes, et que la justice est résolument passée à l’œuvre en recherchant les fauteurs de trouble et en interpellant l’instigatrice principale, écrouée à la prison centrale de Bafoussam en ce moment. La recherche de ses complices se poursuit. Force est revenue à la loi et honte aux comploteurs.
Honorable Me Fotso Fostine est une dame de fer et de cœur, courageuse, intègre et altruiste, nous lui souhaitons prompt rétablissement du choc émotif encaissé après ces diffamations sur vidéos partagées dans le monde entier, après ces casses injustifiées dans les locaux d’une association à but social dans son propre village natal. Le siège de cette association regroupe pourtant des personnes vulnérables. La mère des casseurs, dame Djigo a personnellement bénéficié de plusieurs aides de cette association avec son feu mari. 100 personnes vulnérables leaders sont présentes chaque mois à ce siège, pour recevoir divers aides. En dehors de venir en aide aux personnes en difficultés, Dr Fotso ne gagne personnellement rien dans cette action, excepté la satisfaction d’avoir aidé. Elle a remis il y a 2 ans la somme de 2 millions et demi de fcfa à la disposition de ces femmes et hommes leaders pour des emprunts sans intérêts dans le but de faire tourner leurs petits commerces. Ces femmes, hommes et jeunes reçoivent chacun (dix mille) 10 000 FCFA d’aide maladie après deux jours d’hospitalisation prouvée. Elles entretiennent chacune dans leur village ou leur quartier d’autres réseaux de petites associations. Une meute barbare ne peut pas brutalement décider de mettre fin à cette activité légale et sociale.
C’est avec l’arrivée de la Covid19 que Me Fotso, fondatrice de cette association a voulu achever les petits travaux à l’intérieur du siège afin de garantir les mesures d’hygiène adéquates. En dépit des chantages sur la toile, la dame de fer et de cœur a pris le dessus grâce à sa perspicacité et grâce à la détermination de l’autorité judiciaire de l’Ouest à faire triompher le droit et rien que le droit, malgré les pressions des réseaux. Le mensonge, la violence et le chantage ont des courtes jambes.
Ludivine TSEKENG